Tant qu'il reste des rêves et de l'espérance ....
Regarder couler la vie
Entre sable et infini
Sublimer ces petits miracles
Qui finissent en débâcle,
Sentir cette grâce qui s’ignore,
Cet amour qui implore,
Se balancer au bord du vide
- Légère caresse insipide -
Cueillir les étoiles du néant,
Se perdre à fleur d’océan,
Mordre la poussière
De toutes les lunes délétères,
Mais garder cette étincelle,
Cette once d’espoir immortel,
Et oser croire encore
En de nouvelles aurores …
5 commentaires:
Si parfaitement accompli,ce poeme !
Propice à toutes les rêveries , il enchante et chante la beauté infinie , sans fard ni effet de manche.
Quant à la photo qui l'accompagne ...sourire
Si jamais je deviens insupportable de fatuité, vous y aurez contribué avec vos compliments, chère rêveuse ... Merci !
Quand la nuit est fatiguée l 'aurore la borde de cette étoffe lumineuse pour qu'elle puisse rêver dans son obscurité bise amitié
Bises souvienstoi ... je me demande qui est la plus chanceuse des deux ... la nuit ou l'aurore ... :)
Chaque jour qui se lève une promesse.
Chaque soir qui se couche une de tenue.
Savourer chaque moment,
Aimer chaque instant...
Magnifique sunny.
liligirl
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